mardi 23 juillet 2013

La Transcan

Il n'existe pas meilleure façon de traverser le pays en large que la Transcan. Beaucoup de gens l'emprunte, ce qui la rend aussi pratique que dangereuse. Il est fortement recommander de l'emprunter en groupe, car si l'on est chanceux, on tombe sur un riche caravanier, mais il n'est pas rare que les malchanceux mettent les pieds dans une embuscade de sanguinaires brigands.

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Capital City

Avant de devenir un véritable champ de bataille, Capital City était une très grande ville de bonne réputation. Depuis très longtemps pillée de toutes ses ressources, Capital City est un endroit de choix pour les caravaniers, escrocs et membres de gang sanguinaires. Parmi ses gangs, les sombres quartiers de la ville sont occupées par les Russian roulettes, les Bloods, les Skinwalkers et les Sewer rats pour ne nommer quelques unes. Si l'on est prudent, un passage par Capital City est une véritable mine d'or de marchand, mais si vous êtes imprudents, la mort vous attend à tous les coins de rue.


lundi 22 juillet 2013

Stampede

Caps, gloire et sang. Loin dans l'ouest, plus éloignée encore des grandes plaines, il existe une ville où il est possible de bâtir sa réputation par la brutalité, le sang et la force. Stampede est une ville où les gens vénère l'arène qu'on appelle The Circle of Death ou le cercle de la mort. L’espérance de vie de ceux et celles qui y vont pour combattre et prouver leur force est bien réduite, car on y trouve toujours plus fort que soit. Par contre, il existe une bonne opportunité de faire des caps, beaucoup de caps, mais seulement si on sait reconnaître un vrai guerrier. Véritable ville de débauche axée sur le sport du combat, Stampede est la ville parfaite pour sublimer sa violence. Besoin de savoir si ceux et celles qui sont passé par Stampede sont de vrais durs à cuir? Demandez à La Batte si le succès c'est de partir une caravane de marchandise, ou bien d'entendre des milliers de fans crier son nom lorsqu'on à le pied sur la tête de son adversaire dans le Circle of Death.


dimanche 14 juillet 2013

Anabioze

Après une période considérable de temps à vivre dans le Bunker... Le moral des factions était d’une dépression sans précédent... La vie n'est pas aussi facile qu'on puisse le croire. Certains ont essayé de calculer le nombre de jours, en comptant les cycles d’air, mais même les plus assidus ont perdu espoir. 
Avec la disparition du Mad Doctor, les vagues de zombies ont diminué avec le temps, sans explications. Ceci a laissé place à un nuage d’ennui et de fatigue. Les factions se sont retiré chacun dans leurs salles ou endroits, ne communiquant que rarement avec l’un et l’autre, n’ayant pas d’enjeux à discuter, à part les quelques bousculements personnels. Une ambiance de solitude s’est instaurée, et même les histoires de Zed n’ont su divertir les gens très longtemps.Plusieurs passèrent beaucoup de temps dans une certaine salle ou ils croyaient subir des sensations d’hallucinations. Mais certes, avec le temps, celles-ci diminuèrent, et éventuellement, plus rien n’était ressenti.
Il y a eu plusieurs accrochages entre les factions pour les vivres et l’eau, ceux-ci s’étant réfugiés dans des endroits différents du Bunker. Même en l’explorant, ils ne trouvèrent à peu près rien pour survivre... Très peu d’information sur le pourquoi de sa fermeture, mais uniquement quelques bouts d’histoire griffonnée ici et là. Les choses que Zed appelle “livres” étaient illisibles pour les factions, étant difficilement déchiffrables, et tombant en morceaux en grande majorité. 
Récemment, les lumières flanchaient de temps en temps. Les survivants avaient tendance à garder leur souffle, ne sachant pas si c'était la fin de la génératrice... Si ce bunker allait véritablement devenir une tombe glaciale. Un jour, le bourdonnement habituel des machines dans le bunker a arrêté, et les lumières d'urgence rouge se sont ouverts. Un court message robotique leur annonça que le Grand Froid était terminé. 
Regroupé, tout le monde se trouvait devant la porte de sortie, dans le grand corridor. La lourde porte était enfin dégivrée, mais a pris beaucoup d’efforts afin de céder. La lumière éblouissante de l’extérieure, mais toujours teintée de gris, aveugla même les plus robustes. 
Dehors, rien ne se ressemblait. Les arbres étaient tombés, soit par l’accumulation de neige, ou par de vents violents. Ce qui restait debout s’écroulait en poussière sous les pas des survivants. L’air était sec, quasiment pire que l’intérieur du bunker. Sans plus tarder, les survivants se dirigèrent difficilement vers leurs différents campements établis. La route allait être longue, et ça faisait longtemps, très longtemps qu’ils étaient passés par le chemin. Ce chemin, qui n’existait plus à cause du Grand Froid, ce qui a forcé les factions à prendre des chemins différents.