mardi 21 juin 2016

Épilogue



“Épilogue: La conclusion, le dénouement d’une affaire - Toute bonne chose a une fin” 

Suite à l’annonce du bunker, la surface a été mise en quarantaine. Au moment de l’annonce, des troupes sont sorties du Bunker afin de mettre en place des points de contrôles militaires et médicaux. Les medics du bunker se sont rapidement occupés des malades de la surface en offrant des soins de manière organisée. Malgré leur arrivée soudaine, un climat de confiance régnait : le Coach facilitait les relations entre gens du bunker et gens de la surface.

Le Coach’s Arena a eu lieu afin de calmer les incertitudes face à la quarantaine et déterminer le nouveau chef des Bears. Suite aux combats, Molson sortit vainqueur. Exténués, mais fiers, les survivants retournèrent à leurs campements, anxieux de voir comment la vie dans la quarantaine allait être. Au moins, le temps d’une soirée, les Rikhans, le Coach et le Kernel ont réussi à faire oublier aux survivants le monde de marde dans lequel ils vivaient...


Plusieurs saisons, voire de nombreux hivers ont passé depuis la déclaration de la quarantaine. La surface atteint une routine, où chacun trouva son compte. Nourris, la famine semble chose du passé pour les survivants. Sur une base volontaire, le bunker commença à offrir aux différentes Factions de l’aider à assurer la sécurité de la région. Avec le temps, chaque survivant trouva le moyen de se rendre utile, que ce soit en “skavengeant”, en soignant ou en aidant avec la protection du coin.

Le Coach, les Suddistes et les Rikhans étant clairement les gens de la surface les plus touchés par la Broncshite, suivirent la quarantaine à la lettre. Les luttes de pouvoirs étant ce qu’elles sont, ils comprirent rapidement que le plus fort s’occuperait d’eux et que tout allait être comme avant. Après tout, ils avaient suivi le Coach en sachant qu’il s’occuperait d’eux.

Malheureusement, des semaines passèrent avant que le traitement contre la Broncshite fut identifiés. Ils tombèrent comme des mouches. Quant aux Factions de la surface, elles évoluèrent avec les saisons, leur raison d’être se modifiant au fil du temps. Il y eu quelques pertes, mais au final, la Brocshite n’aura été qu’un fléau qui, comme les tous les autres avant, fini par devenir une habitude du quotidien. Les règles strictes du bunker aidèrent à calmer l’éclosion : les médicaments offerts et imposés par les médecins permirent de soigner les maladies et les maux dû à la malnutrition, à l’exposition aux radiations et aux pluies acides. Bien entendu, quelques insouciants se croyant futé tentèrent de franchir les limites de la quarantaine. Pour eux, la mort aux mains d’agent du bunker fût bien plus rapide et libératrice qu’une mort au main de la Broncshite…

La quarantaine devenant un mode de vie pour les survivants, la discorde qui habitait la région finit par se calmer et une routine s’installa.


La présence de forces armées du Bunker assure le calme dans l’enceinte du village et les alentours, en plus d’empêcher les survivants de la surface de descendre dans le Bunker. Même après tant de temps, la descente est interdite. Seuls les agents avec permission peuvent faire la transition entre la surface et le Bunker, en suivant des procédures d’aseptisation extrêmes.

Chacun est nourri, logé et même compensé pour les trouvailles qu’il fait en skavengeant. Les frontières de la quarantaine se sont élargies avec les saisons, nécessitant des équipes d’exploration s’aventurant de plus en plus loin. Parfois, les Steelers laissaient tomber des crates, forçant même les plus paresseux de sortir et aller retrouver les provisions. Après un certain nombre de temps, la caravane de la Compagnie eu une permission spéciale afin de rentrer et sortir de la zone de quarantaine, sous condition d’être fouillé et aseptisée à chaque passage.

Le sentiment de détresse et de désespoir laisse place à un rythme de vie ordonné, structuré. L’accoutumance aux mœurs du bunker est venue avec le temps et leur présence est devenue naturelle à la surface. Même les opposants les plus virulents ont rapidement compris que c'était la quarantaine ou la mort. Comme disent les agents du bunker, il suffit de vivre une journée à la fois.